dimanche 27 octobre 2013

Dans la ville

1453, les Turcs entrent "dans la vile", "istanbul" dans leur langue.
2013, les Auguin et les Estaux y entrent à leur tour...
Ici, c'est un autre monde, entre Europe et Asie, tours ultra-modernes et banlieues populaires.


Sur la route depuis l'aéroport, les bouchons sont permanents, offrant aux marchands ambulants l'opportunité de proposer aux automobilistes eau, pâtisseries (simits), et jusqu'à des roses.




Ce n'est pas pour fêter notre arrivée, mais bien le 90ème anniversaire de leur république que les Stambouliotes pavoisent.



Ce sera mardi 29 octobre, le jour de notre retour. Nous aurions dû mieux nous informer, et prévoir de rester 24 heures de plus !

En passant près du stade de Besiktas, nous avons cru nous retrouver en Inde avec cette énorme publicité pour Vodafone. Mais la ville n'a rien à voir avec les grandes cités indiennes : propreté des rues, peu de klaxons, voitures  récentes pour la plupart, boutiques modernes, ... 


Voici le pont de Galata avec ses pêcheurs à la ligne, et le cœur de la cité.



Boutiques, petits marchands, cireurs de chaussures, ...








Ici ça grouille, ça vit.












jeudi 24 octobre 2013

Fiers d'être turcs

...comme les supporters de l'OM sont fiers d'être marseillais (Phocée, Marseille, vous me suivez ?)
Le drapeau rouge au croissant et à l'étoile est partout, sur les édifices publics bien sûr mais aussi sur les commerces, les boutiques, les entreprises, les curiosités historiques...





 Dans les ports, les navires arborent fièrement leur pavillon


L'effigie d'Atatürk, le père de la Turquie moderne, est omniprésente, et on la voit même près d'Izmir gravée dans la roche comme les présidents américains dans les monts Rushmore



On retrouve souvent les hommes aux  terrasses des cafés, sirotant leur thé, fumant le narguilé, ou s'adonnant aux jeux de société




Fiers aussi de leurs prises à la pêche !

Le costume national est, pour les hommes, très rarement vu si ce n'est dans les campagnes (très peu toutefois)... ou (pratiquement toujours) pour vendre glaces, jus de grenade ou autres friandises aux touristes !





Ici, même les animaux sont fiers !


Mais est-ce une relation de cause à effet ? Même si cela n'a rien à voir avec l'Inde (nous venons de faire plus de 5000 kilomètres sans mettre nos vies en danger !) la circulation s'en ressent. Ici, on roule en téléphonant au volant, on change de file sans clignotant, on double à droite, ou bien à gauche pour se rabattre tout de suite et prendre la sortie sur la droite


Quelques troupeaux arpentent également les chaussées de campagne. Mais c'est surtout des chats et  des chiens qu'il faut se méfier. Nombreux, ils traversent sans crier gare.
Voir ici la seconde partie du chien sur la gauche ;-)

En résumé, et même si les routes sont dans la plupart des cas en excellent état, comme disent les panneaux de stop, c'est ...